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Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN
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RAID
Messages : 289 Réputation : 6 Date d'inscription : 31/01/2014 Age : 33 Localisation : en mission
Sujet: Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN Ven 7 Mar - 15:37
Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN)
GIGN - 40 ans d'histoire
Le GIGN a 40 ans
Citation :
L’assassinat de 11 membres de l’équipe olympique israélienne retenus en otage par un commando palestinien à Munich, en 1972, ainsi que d’autres affaires au retentissement moins médiatique, comme celle du détournement d’un avion de ligne à Orly par Jean Kay, trois ans plus tôt, ont nourri la réflexion sur la nécessité de doter la France d’une unité d’intervention spéciale etant donné que, dans certaines circonstances, les forces de sécurité classiques se sont révélées impuissantes.
La décision de créer une unité de la Gendarmerie nationale dédiée spécialisée dans les interventions difficiles et délicates a été prise en novembre 1973. Cette mission est alors confiée au lieutenant Christian Prouteau, un jeune officier passé par l’Ecole militaire interarmes (EMIA) avant d’opter pour la gendarmerie qui ne manque pas d’idées pour mettre au point des modes d’action n’ayant rien à voir avec ceux utilisés jusqu’alorspour gérer des situations délicates et dangereuses.
Au départ, 50 gendarmes se portent volontaires pour intégrer la nouvelle unité. Seulement 17 seront retenus et affectée à l’Equipe Commando Régionale d’Intervention (ECRI), rattachée à l’escadron 2/2 de Maisons-Alfort, alors commandé par le capitaine Gervais. La “naissance” opérarionnelle de cette dernière devient effective le 1er mars 1974. L’acronyme GIGN (Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale) sera définitivement adopté le 1er juin 1976.
La première mission de ces gendarmes d’élite, à l’équipement encore sommaire, a eu lieu le 10 mars 1974, dans la résidence du parc à Ecquevilly (Yvelines). Malheureusement, entreprise trop tard, elle se terminera sur un amer sentiment d’échec, une femme et une fillette ayant été tuées par le forcené qui les retenaient en otage bien avant leur intervention.
Deux ans plus tard, en février 1976, à Djibouti, qui est, à l’époque, encore un territoire français, des indépendantistes du Front de libération de la Côte des Somalis (FLCS) détournent un bus de ramassage scolaire avec, à bord, 32 enfants de militaires français. Le véhicule est ensuite immobilisé dans une sorte de no man’s land entre les territoires français et somalien. Les légionnaires de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (DBLE) et du 2e Régiment Etranger de Parachutistes (REP) sont sur place. Ils sont rejoints par une équipe du GIGN, emmenée par le lieutenant Prouteau, dont l’allure suscite un certain scepticisme chez le général Brasart, commandant supérieur des Forces armées du Territoire français des Afars et des Issas.
Pour sortir les enfants du bus, les gendarmes optent pour la technique de tirs simultanés, très compliquée à mettre en oeuvre dans la mesure où il s’agit d’éliminer l’ensemble des cibles en même temps, ce qui demande une cohésion parfaite dans les tirs dès que tous les objectifs à traiter sont tous immobiles. Les tireurs d’élite du lieutenant Prouteau réussissent ainsi à neutraliser 5 terroristes qui avaient été précédemment repérés. Malheureusement, un sixième, qui était resté caché, ouvre le feu sur les otages avant d’être abattu. Deux d’entre eux perdent la vie.
Si, dans son ensemble, cette opération peut être considérée comme un succès, pour Chrisitan Prouteau, elle est un échec, étant donné que le GIGN n’a pas réussi à rendre tous les enfants à leurs familles…
Quoi qu’il en soit, la réputation de ces gendarmes d’élite est faite. Et l’on ne compte plus les opérations souvent délicates qu’ils ont eu à mener en 40 ans, comme celle du détournement de l’Airbus d’Air France, en 1994, par des terroristes islamistes qui, très probablement, avaient l’intention de faire écraser l’appareil sur Paris. Certaines donneront matière à polémiques, comme, en particulier, celle de la grotte d’Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie.
En 40 ans, le GIGN a ainsi mené 1 600 opérations, interpellé 1 500 personnes, libéré 625 otages et maîtrisé 260 forcenés. Dans le même temps, il a perdu 19 des siens au cours de ces interventions souvent périlleuses. Mais ses actions ne se limitent à pas missions difficiles menées uniquement sur le territoire national.
En 2011, le drapeau du GIGN a été décoré de la Croix de la Valeur Militaire (CVM) pour ses actions sur des théâtres d’opérations extérieurs, notamment en Afghanistan où il a mené “des reconnaissances et effectué des coups de main au cœur des zones rebelles, au mépris des risques d’attaques et a ainsi contribué, malgré les périls encourus, à sécuriser les actions menées par les troupes internationales pour étendre l’état de droit aux confins du pays”, en Côte d’Ivoire, où il a joué “un rôle déterminant pour assurer la protection des emprises diplomatiques et des ressortissants français menacés par les luttes politiques intestines, évitant que ceux-ci ne soient la proie de groupes armés violents et incontrôlés” lors de la bataille d’Abidjan, ou encore en Libye, où il a permis “l’installation d’une représentation diplomatique de circonstance destinée à engager des discussions avec le conseil national de transition” alors que la guerre civile faisait rage.
Actuellement, le GIGN compte 380 gendarmes, répartis entre l’état-major, la force intervention, la force sécurité/protection, la la force observation/recherche, la force appui opérationnel et la la force formation. Une équipe d’une vingtaine d’hommes est toujours en alerte et se tient prête à quitter la caserne de Satory dans la demi-heure avec ses équipements (matériel d’écoutes, de déminage revolver, pistolet, fusil de précision) pour intervenir n’importe où.
Le RAID est une unité d'élite de la Police nationale française. Le nom est choisi en référence au mot « raid » désignant un assaut militaire, mais a reçu par rétro-acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.
Fondé en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l'unité participe sur l'ensemble du territoire national à la lutte contre toutes les formes de criminalité et de grand banditisme.
Placé sous l'autorité directe du directeur général de la Police nationale, le RAID est appelé à intervenir à l'occasion d'événements graves, nécessitant l’utilisation de techniques et de moyens spécifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la négociation ou l’intervention.
Son rôle est notamment d'agir dans les situations de crise, du type prise d'otages, retranchement de forcenés ou arrestation de malfaiteurs à haut risque, mais aussi de contribuer à la lutte antiterroriste en apportant son concours à l'Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spécialisés, afin de mener des opérations de filature, d'observation, de renseignement et d'arrestations d'individus ou de groupes susceptibles de se livrer à des actions terroristes sur le territoire français.
L'unité est basée à Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le département de l'Essonne. Sa devise est : « Servir sans faillir ».
-LE GROUPE CYNOPHILE DU RAID.Le groupe cynophile est constitué de 8 maîtres-chiens, 3 chiens d’assaut et 8 chiens de recherche en explosifs. Les binômes, composés d’un maître-chien et d’un chien, ont une habilitation d’intervention pour intégrer systématiquement l’effectif du groupe d’alerte. Au-delà de l’intervention du chien d’assaut sur une opération (en fonction de la dangerosité de la situation), l’essentiel du travail du groupe cynophile reste l’engagement des chiens de recherche en explosifs, notamment en ce qui concerne la sécurisation des lieux et cortèges lors des déplacements du Président de la République.
VOICI L'EMBLEME DU GROUPE CYNOPHILE DU RAID
ARMEMENT DU RAID Voici les différentes armes employées par les hommes du RAID :
* Glock 17, et encore un peu : o Beretta M-92F, o Glock 19, o Glock 26; * Glock 18 ; * Heckler and Koch G36 ; * Heckler & Koch MP5k ; * Heckler & Koch 53; * SIG 553 SOW; * FN-P90 - VIP protection ; * Remington M870 Police ; * Bennelli Super 90 M3 ; * Molot Vepr 12 ; * Beretta M3P ; * Franchi SPAS 15 ; * Fusil de précision PGM Ultima Ratio, .308 Winchester; * Fusil de précision longue portée PGM Hécate II .50 BMG ; * Heckler & Koch PSG-1 ; * FN Minimi ; * Heckler & Koch MG3 ; * Heckler & Koch 69. * Sig-Sauer SP 2022
Intervantion du GIGN decembre 1994,
[b]GIGN partie 1
GIGN partie 2
GIGN partie 3
videos du, RAID,
FIPN,
BRI-PP-BRI,
GIPN,
Le Raid fait son show à Bièvres (Essonne)
Le RAID, dans le secret des hommes en noirs
La B.R.I
GIPN Dans le secret des hommes d'actions
D.S.I Moderateur
Messages : 423 Réputation : 5 Date d'inscription : 23/01/2014 Age : 35 Localisation : france
Sujet: Re: Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN Ven 21 Mar - 21:04
salut belle images raid merci pour le partage, eu voici quelque une de plus,
groupe d'intervention gendarmerie national ,
j'ai été les voir une fois lors d'une démonstration sur Paris vraiment impressionnant il y en a c'est vraiment des géants un corps d'élite super entrainer
Rechargement HK G36C - BRI-BAC / FIPN policier spécialisé de la BRI-PP rechargeant son fusil d'assaut HK G36C lors de tirs tactiques. La maîtrise des armes est très importante pour les policiers de la Brigarde de Recherche et d'Intervention. Les opérationnels sont amenés à opérer en tenue d'intervention mais également en civil. On peut noter le support de bois représentant un mur ou une ouverture de porte afin que les membres de cette unité soient le plus possible en condition réaliste. L'arme est équipée d'une aide à la visée Eotech 552 permettant aux opérateurs des tirs précis qui sauveront des vies lors d'opérations sur forcenés et prises d'otages.
Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN)
GIGN - 40 ans d'histoire
MOMO Moderateur
Messages : 400 Réputation : 7 Date d'inscription : 25/01/2014 Age : 43 Localisation : partout
Sujet: Re: Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN Jeu 27 Mar - 12:40
Médaille pour un sous-officier du GIGN mort Le maréchal des logis-chef Cédric Zéwé.(Photo DR)
Citation :
Le sous-officier du GIGN Cédric Zéwé, mort le 7 novembre 2013 lors d'un entraînement au contre-terrorisme maritime au large de Giens (Var), a été décoré de la Médaille militaire, selon un décret paru aujourd'hui au Journal officiel. Ce maréchal des logis-chef de 28 ans était à bord d'une embarcation pneumatique lorsqu'il avait entrepris, en compagnie d'autres militaires, de monter à bord du Tonnerre, bâtiment de projection et de commandement, au cours d'un exercice d'abordage de bateau en mer.
Une procédure judiciaire a été ouverte sous l'autorité du procureur de la République à Marseille, chargé des affaires militaires. Depuis la création du GIGN en 1973 et après la restructuration de 2007 qui a rassemblé sous cette unité le GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République) et l'EPIGN (Escadron parachutiste d'intervention de la gendarmerie nationale), 17 gendarmes sont morts à l'entraînement et deux en opérations
Lors d'un exercice nocturne d'abordage de bateau, le militaire du GIGN, alors lourdement équipé, avait fait une chute. Son corps avait été retrouvé quelques jours plus tard par 800 mètres de fond. Cédric Zéwé, âgé de 28 ans et originaire de Moselle, avait intégré le groupe d'intervention de la gendarmerie nationale en janvier 2012.
Le décret portant concession de la médaille militaire a été publié ce jeudi matin au Journal officiel.
RAID
Messages : 289 Réputation : 6 Date d'inscription : 31/01/2014 Age : 33 Localisation : en mission
Sujet: Re: Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN Jeu 2 Avr - 13:47
Un policier du Raid raconte l'assaut de l'Hyper Cacher
Citation :
Il est « L'homme au bouclier », le tout premier à s'être lancé à l'assaut de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes (Paris XXe). Le vendredi 9 janvier, Antoine* et ses quelque 70 collègues du Raid, l'unité d'élite de la police, épaulés par la brigade de recherche et d'intervention (BRI) et la brigade d'intervention (BI), ont mis un terme à la sanglante prise d'otages au cours de laquelle quatre personnes ont succombé aux balles d'Amedy Coulibaly Cet homme discret d'une trentaine d'années, sportif de haut niveau, qui avait déjà participé au siège du domicile de Mohamed Merah au printemps 2012, revient pour la première fois sur cette intervention. Pendant plus de trente secondes, il s'est retrouvé seul face à Coulibaly avant que le terroriste ne tombe sous les rafales des forces de l'ordre.
Quand le Raid a-t-il été mobilisé ? ANTOINE*. Nous étions en alerte depuis l'attentat de « Charlie Hebdo », le mercredi. Nous avons participé à la traque des frères Kouachi. En vain. En apprenant le vendredi matin qu'ils avaient été localisés à Dammartin-en-Goële (NDLR : en Seine-et-Marne), non loin de là où nous avions stoppé nos recherches, nous avons ressenti une certaine frustration. Et en même temps, un relatif soulagement, car nous savions qu'ils seraient neutralisés d'une manière ou d'une autre. C'est alors qu'on a été informés de la prise d'otages de la porte de Vincennes.
Où étiez-vous ? Nous déjeunions avec quelques collègues, lorsque nos bipeurs ont sonné à l'unisson. Nous sommes vite repartis au Raid. Dans ces cas-là, on a juste quelques minutes pour rassembler nos armes et notre équipement personnels. On a filé en convoi jusqu'à la porte de Vincennes. Là, arrêtés sur le périphérique, on a attendu les instructions pendant près de trois heures en discutant de tout et de rien.
Quand est tombé l'ordre d'intervenir ? Vers 17 heures. Nos chefs nous ont rapidement briefés sur la disposition des lieux. On savait qu'il y avait au moins trois morts, que Coulibaly était lourdement armé, qu'il avait probablement un complice et qu'il restait une vingtaine d'otages (26 en réalité). Chacun d'entre nous, Raid, BRI, BI, s'est vu confier un rôle précis. C'est à ce moment-là que mon chef de groupe m'a dit que j'allais prendre la tête de la première colonne d'assaut à l'entrée principale du magasin.
Aviez-vous déjà tenu ce rôle ? Oui, à plusieurs reprises, mais dans des conditions différentes, notamment lors d'interventions au petit matin dans des affaires de grand banditisme. Cela dit, ce poste n'a rien de spécifique. C'est une action de groupe, nous intervenons ensemble, soudés et déterminés. Ce sont les chefs de groupes qui décident du rôle de chacun : ils nous côtoient au quotidien, connaissent notre état de forme physique et psychologique et savent désigner au moment T celui qu'ils jugent le plus à même d'assurer tel ou tel rôle.
Quelles étaient vos instructions ? Tout d'abord protéger avec mon bouclier le collègue chargé d'ouvrir le rideau métallique de l'entrée. A mesure qu'il se lève, je sais que le risque de tirs grandit. Notre priorité, c'est surtout de préserver la vie des otages, d'autant que nous ne savons pas où ils se trouvent. Dans ce genre d'interventions, je n'ai pas de schéma préétabli, car c'est le meilleur moyen pour que ça dégénère. Le plus grand danger est de se retrouver face à une situation à laquelle on ne s'attendait pas. Le temps de réaction peut alors être fatal. En fait, l'idée est simple : une fois le rideau levé, il faut analyser le maximum d'éléments en un minimum de temps, puis s'adapter, sachant que la vie des otages prime sur tout le reste. C'est pour cette raison que la colonne d'assaut casse, et que l'on ne rentre pas tous ensemble au même moment.
Ressentez-vous de la peur ? Au risque de surprendre, non (sourire). Je n'arrive toujours pas à me l'expliquer, mais dans l'ensemble, je suis plutôt serein. Comme mes collègues, je suis dans ma bulle, à l'affût de ce qui va se présenter.
Que se passe-t-il quand le rideau se lève ? Tout de suite, j'aperçois le corps d'un otage au sol. Puis, à une dizaine de mètres devant moi, de l'autre côté des caisses, le forcené surgit les armes à la main. Tout va très vite. Je rentre dans le magasin, j'aperçois les otages sur ma gauche. Il tire ses premières balles qui viennent se loger dans mon bouclier. Je continue à avancer en ripostant, puis je me décale dans l'allée vers la droite, à l'opposé des otages afin qu'ils ne soient pas pris pour cible. Il avance alors vers moi en continuant à tirer et je reçois une balle (freinée par le gilet pare-balles, elle l'a malgré tout blessé, provoquant d'importantes brûlures). La fusillade s'intensifie, puis mes collègues postés derrière ouvrent le feu à leur tour. Lui avance toujours vers l'entrée avant d'être happé par leurs balles.
VIDEO. Les images de l'assaut Porte de Vincennes (BFMTV)
La pression peut alors retomber ? Cela prend un certain temps, car on est restés un long moment à explorer tous les recoins du magasin. Ensuite, on est tous rentrés au Raid pour un rapide débriefing. C'est surtout un moment de décompression, où l'on se parle beaucoup. On échange nos impressions, nos émotions. Puis, on est allés faire un bon dîner avec des collègues, car on avait besoin de nous retrouver entre nous. Comme eux, j'ai mis un certain temps à trouver le sommeil. On se refait le film des événements, en essayant de voir ce qu'on aurait pu faire mieux. Et puis je pense à ma famille et à mes proches, à qui je cause de fortes inquiétudes (rires). Sans eux, je n'en serais pas là.
Vous les aviez prévenus ? Ils se doutaient que j'y étais...
Comment réagissez-vous lorsque l'on vous qualifie de héros ? Je ne suis pas un héros. Comme mes collègues, j'ai juste fait mon travail, rien de plus. Et c'est le travail de tout un groupe, pas d'un seul policier avec son bouclier. Nous nous entraînons toute l'année pour faire face à des situations difficiles. Je suis ravi que l'intervention se soit déroulée ainsi et que, surtout, les otages soient sains et saufs. Au final, il n'y a que ça qui compte.
Pourquoi avez-vous intégré le Raid ? C'est un rêve de gosse. La vocation m'est venue il y a vingt ans quand le GIGN s'est lancé à l'assaut d'un avion d'Air France aux mains de terroristes à l'aéroport de Marignane (Bouches-du-Rhône). J'étais devant la télé, et je me suis tourné vers ma mère en lui disant : « Voilà ce que je veux faire. » L'idée a fait son chemin. J'ai intégré l'école de police, puis un poste de CRS en région parisienne, avant d'être admis à rejoindre le Raid il y a six ans. C'est un métier magnifique.
Messages : 423 Réputation : 5 Date d'inscription : 23/01/2014 Age : 35 Localisation : france
Sujet: Re: Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN Jeu 2 Avr - 13:59
les Groupes d'interventions française sont très bon,
si mes souvenirs son bon aucun policier a perdu la vie en intervention, sauf a l'entrainement faut dire aussi que Question équipement ils sont vraiment aux top .
MOMO Moderateur
Messages : 400 Réputation : 7 Date d'inscription : 25/01/2014 Age : 43 Localisation : partout
Sujet: Re: Forces de sécurités Française RAID,BRI-PP-BRI,GIPN,GIGN Mer 29 Avr - 21:54
La police française s'équipe d'un nouveau véhicule très surprenant
Citation :
C'est la police municipale d'Evry qui a eu la chance de tester ce surprenant véhicule aux allures futuristes. Fabriqué par la société Iris Viséo, cet engin a été créée entre autre pour contrôler la foule lors de manifestation. Avec un bras télescopique qui propulse la cabine du conducteur à 3,50 mètre de hauteur, ce véhicule unique est idéal pour surveiller de qu'il se passe dans une foule ou dans l'enceinte des pavillons, en cas de cambriolages par exemple. La police française sera donc peut-être bientôt équipée de ces engins actuellement en pleine finition. Pour l'heure, c'est la police municipale d'Evry qui a eu la chance de tester le véhicule durant le carnaval de la ville. Un essai fructueux Son utilisation dans de véritables conditions a toutefois permis de révéler quelques zones d'ombres. En effet, le cockpit monoplace a été jugé trop dangereux car il créée un problème de sécurité pour le policier en intervention. L'espace réservé aux sièges est également un point négatif puisqu'il entrave le bouclage de la ceinture, faute de place. Pour palier à ces inconvénients, la société de fabrication est d'ores et déjà en train de se lancer dans une modification de ses véhicules. Un véhicule avoisinant les 45 000 euros100 % électrique et français, ce véhicule possède une autonomie de 80 km et une vitesse maximale de 25km/h. Malgré ces nombreux atouts, le véhicule est jugé "trop cher" pour la municipalité d'Evry. En effet, à 45 000 euros à l'achat et à 700 euros la location au mois, le prix de cette voiture est considéré comme trop élevé.